L’Incroyable Seconde Vie Sexuelle De Marie-Hélène (1)

Cette histoire est rigoureusement exacte et elle m’a été rapportée par le mari de l’héroïne. Tout est parfaitement fidèle à la réalité, sauf les prénoms !

Gérard avait découvert son envie phénoménale d’être cocu suite à une aventure qu’il avait eut, 10 ans plutôt, avec la jeune épouse d’un de ses collègue. Durant près de trois mois, il avait copieusement baisé cette femme en cachette du mari et ils avaient finis par être découvert par le cocu. Celui-ci avait assez bien pris la chose, mais il avait tout dit à Marie-Hélène, l’épouse de Gérard… Les deux couples s’étaient retrouvé autour d’un verre, chez Gérard et il en avait découlé un difficile moment où Marie-Hélène avait beaucoup pleuré et crié, avant que le cocu de service propose une vengeance qui clôturerait l’affaire. Il demanda à Marie-Hélène de le rejoindre dans une chambre d’hôtel pour rendre la monnaie de leur pièce aux coupables ! Refus violent, de Marie-Hélène qui finit par accepter sous la pression es trois autres. Le jour dit, elle s’était donnée à l’homme, qui avait profité de l’occasion avec entrain. Mais, Marie-Hélène avait toujours refusé de dire un mot de ces 2 heures à Gérard. L’amant d’un jour lui confia que Marie-Hélène avait été très passive, qu’elle avait jouit 3 fois et que, e toutes évidences, c’était une candidate sérieuse à la soumission ! Bref, Gérard découvrit qu’il désirait ardemment que sa femme soit éduquée par un homme dominant.
Dix longues années à tenter de pervertir Marie-Hélène. A chercher un homme capable de la révéler à elle-même. Marie-Hélène, avant la naissance des s était une femme assez « coquine » qu’il avait pu photographié quasi nue et qui suçait volontiers, même en extérieur. Cette femme avait disparu dés leur fille née. C’est l’entrée de cette fille dans la vie sexuelle, à 17 ans, qui accentuait le besoin de Gérard, à voir sa femme devenir une salope soumise. Marie-Hélène allait avoir 55 ans, elle était, de l’avis de tous les hommes la connaissant, superbement conservée.

Quand Gérard voyait leur fille, belle et sexy comme l’était sa mère, il enrageait de l’attitude de Marie-Hélène. Le « copain » de sa fille devait se régaler !!!
Dix ans de désespoir, puis, enfin, la lumière ! Le truc inespéré ! Depuis un an, elle travaillait pour un couple de parisiens à la retraite. La femme venait de mourir brusquement, dans un accident de la route. Le conducteur était un ami du couple et Marie-Hélène soupçonnait qu’il baisait la femme. Le mec se retrouvait seul à 62 ans et semblait bien le prendre !!!
Au bout de deux mois, Marie-Hélène semblait gênée d’aller passer 3 heures, deux fois par semaines chez ce type. Gérard la harcela pour qu’elle lui dise pourquoi.
« Je n’aime pas sa façon de me regarder ! Il m’a dit qu’il aimerait que je mette plus souvent des robes ou des jupes à mi cuisses maximum, car j’ai de belles jambes… Et il m’a, plusieurs fois, touchée ! »
« Touchée ? Où ? Comment ? »
« Ben, il m’a mit la main au cul en passant près de moi. Puis, il a profité que je faisais le lit pour venir derrière moi par surprise et me prendre par les hanches !!! »
« Il voudrait te baiser ? »
« Je ne sais pas, mais c’est un pervers ! »
« Pourquoi ? »
« Il cache plein de saloperies dans une armoire !!! »
« Des saloperies ? Genre sex toys ? »
« Oui et des menottes, des fouets et d’autres horreurs ! »
« Est-ce qu’il te fait de l’effet ? »
« T’es con ! Il me fait peur… »
Il n’insista pas, mais une idée était née dans son cerveau perturbé. Le lendemain, il alla voir l’homme. Marie-Hélène irait faire ses heures le jour suivant… Il n’y alla pas par 4 chemins !
« Monsieur, je sais que ma femme vous plait. Je cherche depuis 10 ans, un homme qui la transformera en bonne salope docile et je pense que vous pouvez y parvenir. Accepteriez-vous d’essayer ? »
« Mais, mon cher, je suis en pleine approche ! Demain, elle va devoir franchir un cap important… Je lui ai demandé de porter une robe courte et décolletée. Je pense qu’elle va obéir ! »
« Vraiment ? Pourquoi le croyez-vous ? »
« Parce qu’elle y est prête…Je la fais mouiller et elle est troublée ! »
« Elle prétend que cela l’indispose et elle dit vouloir arrêter ! »
« Elle ment ! Je lui ai, plusieurs fois caresser le cul au travers de sa culotte. Deux fois, j’ai mis ma main sur sa chatte et glisser un doigt sur sa fente. Elle se laisse faire un moment, puis se reprend ! Mais elle mouille ! »
« Qu’avez vous prévu pour demain ? »
« Elle va se mettre nue et se branler devant moi ! Je me branlerais en la regardant. Je pense qu’elle va vouloir me sucer et j’espère pouvoir la baiser au final ! »
« Aucune chance… »
« Vraiment ? Alors, si je parviens à mes fins, je veux une récompense ! »
« Laquelle ? »
« Vous me donnerez tous pouvoirs sur elle et sur votre charmante fille ! Je compte en faire mes deux salopes !!! »
« Comment puis-je être certain que vous ne me mentirez pas ? »
« Je vais vous envoyer des photos, mon cher… Elle n’en saura rien, mais j’en ferais pour la suite de mon entreprise ! »
« Je ne vois pas ce que vient faire ma fille dans l’affaire ! »
« Son copain est un crétin et même Marie-Hélène le sait, car elle m’a dit que ce n’était pas le bon mec pour elle ! »
« Vous connaissez ma fille ? »
« Elle est venue plusieurs fois avec sa mère et j’ai eu l’occasion de la toucher. Elle est bouillante la gamine ! »
« Bien, si vous gagnez votre pari, vous aurez carte blanche. »
« Il faudra me signer une autorisation. Je vous l’enverrais avec les photos… »
Gérard sorti un peu groggy de cet entretien. Il avait donné son mail pour échanger mais il restait convaincu que ce Jean allait droit à l’échec ! Le soir, il remarqua que Marie-Hélène semblait nerveuse et qu’elle passait plus longtemps que d’habitude dans la salle de bain. Une fois au lit, il voulu tenter de la baiser, mais elle se refusa. Le lendemain matin, il était un peu nerveux, car il partait à 8h et sa femme allait chez Jean à 9h. Il ne la reverrait pas avant 18h et elle lui semblait des plus fébrile.
Il devait être 12h30 quand il reçu un SMS lui déclarant que Marie-Hélène avait été très obéissante et qu’il était magnifiquement cocu… Aussitôt, il se mit à bander. Profitant de sa pause, il alla aux toilettes pour voir ses mails. Une dizaine de photos ! Marie-Hélène, debout et nue, puis se masturbant, les yeux mi clos, puis suçant l’énorme bite de Jean, en levrette, puissamment pénétrée par le mandrin et pour finir, la bouche pleine de foutre. De chaque étape, deux clichés parfaits. Un message :
« Ta femme est un don du ciel… Je ne devrais pas tarder à l’enculer… Déjà, elle a avalé mon foutre bien sagement et elle va raser sa chatte ce soir. Il lui est interdit de se laisser baiser par toi, mais elle peut te sucer. Je préfèrerais que tu n’en pas. Demain après midi, elle revient, hors de ses heures, pour me montrer sa moule rasée et pour signer un contrat de soumission. Elle a jouit 4 fois en 1h30 et elle m’a dit que cela ne lui était plus arrivé depuis plus de 30 ans et jamais avec toi ! Mais, sois rassuré, elle est follement amoureuse de toi, au point de m’avoir supplié de faire en sorte que tu ignores tout ! Je vais lui proposer de demander à votre fille de venir faire les heures de ménages pour que nous soyons plus libres. La petite viendrait en fin d’après midi pour ne pas gêner ses cours !!! A moi de lui faire subir le même sort que sa mère !!! P.S. envoies moi de toutes urgences le contrat signé !!! »
En rentrant ce soir là, il trouva Marie-Hélène en pyjama, fraîchement douchée, mais un peu tendue… Il se garda de faire la moindre réflexion, mais passa la soirée à la regarder en douce. Elle semblait soucieuse et même parfois « absente ». Elle monta se coucher vers 21h et il ne la rejoignit qu’environ 45mn plus tard. Elle ne dormait pas, mais le plus surprenant était qu’elle avait ôté son pyjama. Il se glissa dans le lit pour constater qu’elle portait une culotte assez sexy. Il sourit et mit une main sur la chatte de sa femme, par-dessus le tissu. Elle tressaillit, mais ne s’écarta pas comme si souvent.
« J’ai envie de toi, ma chérie ! »
« Je suis fatiguée, tu sais. Mais, si tu veux, je veux bien te branler… »
Stupeur ! Marie-Hélène proposait un acte qu’elle ne pratiquait que très exceptionnellement ! Il sortit son sexe sans attendre et il lui demanda de le sucer. Elle commença par le branler, puis, elle se laissa glisser pour lui tailler une pipe de très bonne qualité. Il en profita pour lui imposer des gorges profondes, qu’elle subi stoïquement. Quand il senti qu’il allait jouir, il lui dit :
« J’attendais depuis si longtemps que tu te rases la chatte, que j’en suis stupéfait… Pour fêter cela, je veux me vider dans ta bouche. »
Il n’avait jamais pu obtenir qu’elle avale son jus. Posant une main sur sa nuque, il l’empêcha de se retirer. Mais, elle ne tenta rien et il obtint qu’elle avale ! C’était incroyable, il en tremblait. Elle lécha un moment sa bite débandant, puis elle se remit en place en ne faisant aucun commentaire. Gérard se leva, il prétexta le besoin de se laver et alla dans la salle de bain, avec son Smartphone en main. Il fallait qu’il raconte ça à Jean. Il rédigea un SMS.
« M Jean, ce soir Marie-Hélène avait le sexe lisse et elle m’a sucé comme une dingue en avalant ! Vous êtes un Maître formidable et je déposerais le contrat signé, dans votre boîte à lettres, demain matin vers 8h… Mille fois merci ! »